Le 15 mars 2010, des Chibanis, résidents du foyer ADOMA de Fronton à Toulouse accompagné du Collectif "Justice et dignité pour les Chibanis" ont occupé les locaux de la CRAM (CARSAT) pour dénoncer des contrôles massifs ayant débouché sur des redressement allant jusqu'à 22 000 euros et que le collectif juge discriminatoires.